Paris, mon amour, est en larmes … Paris … Paris, mon
petit ami, il est triste. Paris, mon petit ami, est en
larmes. Il pleure ses enfants, ses amants ...
Le
français a été mon premier amour. Je l'ai découvert quand j'étais en 5è. Et ce
fut le coup de foudre. Je ne l'ai jamais
oublié. Et je n'ai jamais cessé de l'aimer.
Paris, Paris chéri,
je sens encore votre étreinte, votre saveur, les battements de votre cœur,
votre franchise, votre amour.
Vous, avec le Pont
des Arts et le Louvre, avec
Marie-Antoinette et le château de Versailles ... vous, avec le Musée d’Orsay, les Champs-Elysées et
le métro ... avec Rodin, Brâncuşi, Degas et ses ballerines... vous et
la République et la Tour Eiffel ... vous, avec les terrasses, le fromage et le vin... vous, avec
Vogue et Notre Dame, avec vos
parisiens...
Paris, mon amour, je suis triste. Vous êtes là.
Mais je ressens ici votre
douleur; tout comme vos larmes.
Je crois bien qu'il n'y a rien
de plus sensuel, de plus beau et de plus significatif qu'un « je
t'aime ». Et
rien n’est comme un verre de champagne bu dans la Tour Eiffel.
Vous ne pouvez pas être oublié. Moi, je ne peux pas vous oublier.
Vous êtes toujours avec moi. Je
vous sens, moi ...
je sens votre souffle, votre toucher, votre baiser.
Mon chéri Paris, je vous aime
... maintenant et pour toujours.
Et “rien n'est si beau que ce Paris que j'ai …” dans mon coeur … à jamais.
M.
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